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Format |
Radio
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Titre de l'émission |
PARTAGE D'ETE
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Titre du segment | Le mouvement Parti pris |
Date de création
| 1965-09-07 |
Invités | Piotte Jean-Marc |
Artisans | Bergeron Henri, présentateur ; Cloutier Normand, journaliste ; Derome Bernard, collaborateur ; Martel Réginald, journaliste ; Paradis Harvey, réalisateur ; Robichaud Raymond, traducteur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | LE MOUVEMENT PARTI PRIS DEVIENT LE MOUVEMENT DE LIBÉRATION POPULAIRE. Jean-Marc Piotte explique les raisons du changement de nom, parle de la relation entre le mouvement et la revue Parti pris, ainsi que des activités du club. |
Mots clés | Culture — Gauche politique — Groupes et réseaux — Périodiques — Politique — Société |
Identifiant | 576950 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
PRÉSENT
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Titre du segment | Le rôle de la revue "Parti pris" |
Titre de l'épisode | Édition métropolitaine |
Date de création
| 1967-12-28 |
Durée du segment | 00:08:55 |
Invités | Racine Luc, collaborateur à la revue "Parti pris", chercheur à l'Université de Montréal |
Artisans | Blondin Robert, réalisateur; Drouin Gabi, journaliste, interviewer |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Entretien avec Luc Racine, dans lequel il parle du rôle de la revue "Parti pris" dans la diffusion des idées indépendantistes, du Mouvement de libération populaire, de l'intolérance de "Parti pris" envers l'Église, de la dimension socialiste de "Parti pris", de la crise constitutionnelle, de l'embourgeoisement de certains anciens membres de "Parti pris", de Pierre Maheu, de la violence et de l'avenir de "Parti pris". |
Mots clés | Culture — Gauche politique — Groupes et réseaux — Indépendantisme — Périodiques — Politique — Religion — Société |
Identifiant | 578601 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
NOUVELLES
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Titre du segment | Spectacle - Loi 63 |
Date de création
| 1969-11-17 |
Durée du segment | 00:00:47 |
Artisans | Viroly Michèle, journaliste |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Spectacle de 63 artistes contre la Loi 63. Affiche "La LIS présente 63 artistes en CALIS, de midi à minuit, dimanche 23 novembre au centre Maisonneuve, 3000 rue Viau, Montréal". Un homme qui n'est pas identifié parle du spectacle organisé par la LIS (Ligue d'intégration scolaire) et le CALIS (Comité d'action de la Ligue d'intégration scolaire). |
Mots clés | Culture — Groupes et réseaux — Langue — Politique — Société — Spectacle |
Identifiant | 233905 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
4 |
Format |
Télévision
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Titre de l'émission |
30 DIMANCHE
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Titre du segment | La conférence canadienne des arts |
Date de création
| 1973-02-18 |
Durée du segment | 00:25:53 |
Artisans | Groulx André, réalisateur; Lafond Andréanne, animatrice |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | La Conférence canadienne des Arts, section Québec.
Entrevues avec Yves Trudeau, Serge Lemoine, Robert Lévesque:
Le but de ces conférences. L'absence de politiques culturelles au Québec. La remise en question des structures du Ministère des affaires culturelles. La dénonciation de l'immobilisme et l'incompétence du sous-ministre. Les répercussions que les recommandations du congrès devraient avoir au sein du ministère.
Entrevue avec Jean-Louis Roux:
Le regroupement du milieu artistique et culturel. Son opinion sur la création d'un front commun des artistes et son action auprès des différents paliers des gouvernements. L'importance de la dépolitisation de la culture.
Entrevue avec Guy Frégault:
Ses réactions à la conférence. L'existence d'une politique culturelle au Québec et l'intérêt de l'État pour le développement culturel. Son opinion sur la création du front commun des artistes. Le bilan des réalisations de son ministère. Le problème des centres régionaux et le rapatriement des fonds d'Ottawa. Le ministère et les résolutions du congrès.
PARTICIPANTS:
Yves Trudeau, organisateur de la conférence; Jean-Louis Roux, comédien; Guy Frégault, sous-ministre des Affaires culturelles du Québec; Serge Lemoine, artiste; Robert Lévesque, journaliste de QuébecPresse;
JOURNALISTE: Andréanne Lafond
RÉALISATION: André Groulx |
Mots clés | Art — Conférences — Culture — Groupes et réseaux — Politique — Politique culturelle |
Identifiant | 1296400 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
5 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
AUX VINGT HEURES
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Titre du segment | Propos et confidences de Simone Beaulieu et de son fils |
Date de création
| 1978-03-16 |
Invités | Beaulieu Louis-Emery, fils d'ambassadeur; Beaulieu Simone, peintre, journaliste et femme d'ambassadeur; Pinard Maurice, professeur et sondeur à la Faculté de sociologie de l'Université McGill |
Artisans | Gariépy Pierre, réalisateur; Lemay Gaétan, animateur; Nadeau Roger, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Reportages, dossiers, coup d'oeil sur les informations, le tout agrémenté de musique - Propos et confidences de Simone Beaulieu et de son fils Louis Emery. Simone Beaulieu parle de ses origines familiales et de ses souvenirs d'enfance, de son éveil intellectuel, de l'enracinement familial au Québec malgré 35 ans d'exil diplomatique dans trois continents, du cheminement de sa carrière artistique et de l'évocation de Paul-Émile Borduas et du Refus global ainsi que d'André Breton. Elle rappelle sa rencontre avec Paul Beaulieu grâce aux Compagnons de Saint-Laurent, leurs amis communs et des anecdotes, la carrière diplomatique de son mari et leurs activités intellectuelles dans la revue "La relève", qu'il avait fondé. Elle fait aussi l'historique de son éviction de l'École des Beaux Arts de Montréal par Charles Maillard. Louis-Emery Beaulieu évoque l'éducation d'un enfant d'ambassadeur, son éveil aux prolèmes socio-politiques au Brésil et son opinion sur la démarche québécoise vers l'indépendance. |
Mots clés | Art — Automatisme — Culture — Groupes et réseaux — Indépendantisme — Périodiques — Politique — Sociologie — Souvenirs — Surréalisme |
Identifiant | 679964 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
6 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
AUX VINGT HEURES
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Titre du segment | Reportages, dossiers, coup d'oeil sur les informations |
Date de création
| 1978-03-17 |
Durée du segment | 01:00:00 |
Invités | Beaulieu Louis-Emery, fils d'ambassadeur; Beaulieu Simone, peintre, journaliste et femme d'ambassadeur |
Artisans | Gariépy Pierre, réalisateur; Lemay Gaétan, animateur; Pinelli Marc, journaliste, interviewer |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | REPORTAGES, DOSSIERS, COUP D'OEIL SUR LES INFORMATIONS, LE TOUT AGRÉMENTÉ DE MUSIQUE. PROPOS ET CONFIDENCES DE SIMONE BEAULIEU ET DE SON FILS LOUIS-EMERY. Simone Beaulieu parle des rencontres intellectuelles du groupe de "La relève", de son opinion sur les problèmes du Vietnam et du Cambodge, de son engagement politique et de son militantisme dans Saint-Henri, de la crise d'octobre, de son emprisonnement et de son opinion sur les agissements du gouvernement fédéral d'alors, de la conjoncture Québec-Canada dans l'actualité et du respect qu'elle voue aux idées politiques de son fils. |
Mots clés | Culture — Gauche politique — Groupes et réseaux — Guerres — Périodiques — Politique — Société — Souvenirs |
Identifiant | 679991 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
7 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
DE MÉMOIRE D'HOMME
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Titre de l'épisode | Victor Barbeau (3/3) |
Date de création
| 1983-06-21 |
Invités | Barbeau Victor, professeur, écrivain, journaliste, fondateur de l'Académie canadienne-française |
Artisans | Blouin Jean, interviewer; Giguère Diane, annonceuse; Major André, réalisateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Entretien avec Victor Barbeau qui fait le bilan de ses multiples engagements culturels et sociaux. Il raconte les circonstances qui l'ont conduit à publier, en 1936, le livre MESURE DE NOTRE TAILLE dans lequel il dresse l'inventaire de notre pauvreté économique. Il voit dans le corporatisme un outil de salut économique pour les Canadiens français. Il a enseigné le corporatisme à l'Université Laval et parle des coopératives de consommation qui se sont alors organisées. Après avoir été président de la Société des écrivains canadiens de 1937 à 1944, il fonde l'Académie canadienne-française, regroupant des écrivains dont l'oeuvre témoignait de la vitalité de la littérature canadienne-française. Il a fondé, en 1946, la revue Liaison qui a été publiée pendant 4 ans. Ardent défenseur de la langue française, d'une langue châtiée, il est un critique impitoyable envers tous les auteurs qui dérogent à cette norme, y compris Émile Zola. |
Mots clés | Culture — Groupes et réseaux — Langue — Politique — Société — Souvenirs |
Identifiant | 47036001 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
8 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
L'AVENTURE
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Titre du segment | L'aventure de la Société Saint-Jean-Baptiste |
Date de création
| 1997-02-17 |
Durée du segment | 00:48:12 |
Invités | Germain Jean-Claude, historien |
Artisans | Blondin Robert, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Robert Blondin présente l'aventure de la Société Saint-Jean-Baptiste avec l'historien Jean-Claude Germain. Ils se retrouvent à la maison Ludger-Duvernay, à Montréal, siège social de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal. Au début du siècle, le gouvernement provincial ne joue pas toujours son rôle. Certaines tâches qu'il devrait accomplir sont prises en main par la SSJB. Ainsi, lors de la Première guerre mondiale, l'image des Canadiens-français est ternie à l'étranger car ils ne veulent pas aller à la guerre et les Américains ainsi que les Français ne comprennent pas pourquoi. La SSJB va créer un bureau de publicité et il y aura un correspondant à Boston qui écrira des articles ou fera des rectifications dans les médias. La SSJB continue de jouer son rôle d'éducation populaire en finançant des émissions de radio qui sont axées sur l'histoire. La francisation est également un dossier important. La SSJB réussit à ce que le gouvernement ordonne à la compagnie Bell Téléphone qu'elle inscrive les bureaux de l'administration provinciale en français et en anglais dans les bottins. Elle exige également que l'administration municipale de Montréal conçoive ses documents dans les deux langues. À Noël 1924, grâce à Victor Morin, la croix sur le Mont-Royal s'illumine. En 1926, on érige un monument aux Patriotes. En 1934, c'est le centenaire de la SSJB et on fait le bilan de ces cent ans. Le monument national, ses cours publiques, la Caisse nationale d'économie, la caisse de remboursement, la Société nationale de fiducie, l'institution d'un concours d'histoire, la publication de "L'oiseau bleu" (revue pour enfants), les émissions hebdomadaires de radio à CKAC. En 1935, Joseph Dansereau énonce une définition du nationalisme qui deviendra la doctrine de la SSJB. Le nationalisme, c'est la fière notion de soi et l'énergique poursuite de sa destinée. En 1939, la SSJB s'opposera encore à la conscription. En 1947, le président de la SSJB, Roger Duhamel, fondera deux institutions: les prix littéraires et le prêt d'honneur. La SSJB sera active dans les années 1970 lorsque les conflits pour la langue réapparaîtront avec la loi 22 et la loi 63. Aujourd'hui, elle reste avec le mandat de son origine, un lieu de discussion, en dehors des partis politiques. |
Mots clés | Culture — Groupes et réseaux — Histoire — Langue — Nationalisme — Politique — Société |
Identifiant | 1254015 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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